bonjour deuil

c'est très difficile en effet, d'assumer une telle nouvelle. J'ai perdu mon beau-frère quand il n'avait que 42 ans, ca a été très dure aussi, mais il faut arriver à accepter et à surmonter la douleur.....ne serait-ce pour lui, pour l'aider et le soutenir...cela ne veux pas dire ne pas en parler avec lui, ça dépend de l'attitude de chacun.

J'ai eu beaucoup de chance dans le fait que j'ai pu beaucoup discuter avec mon beau-frère, qui n'est pas décédé de la PAF mais d'un cancer. Il savait qu'il allait mourrir, et il m'a dit que ça lui faisait du bien d'en parler...mais il n'en parlait pas autour de lui, juste à quelques membres de la famille.

Il faut respecter la façon dont ton frère souhaite aborder cela, mais pour vous, ce sera très dure c'est certain. Je ne vais pas vous dire le contraire. Mais souvent, le fait d'en parler, surtout à des inconnus peutêtre, pourra vous aider à aller de l'avant peut-etre.

N'hésitez surtout pas à m'envoyer un email si vous souhaitez en discuter, ce serait avec plaisir

Je comprends votre désarroi, sachez que les médecins font tout ce qu'ils peuvent, et les jeux ne sont pas faits....

bon courage, je suis là en cas de besoin,

amitiés

Linda

Linda

bonsoir

qq mots pour vous dire que sur cette période il y a toujours un espoir: 

médecine classique peut,  souvent dans le cas de la paf,  aider à prolonger plus longtemps, peut-être faut-il frapper à plusieurs portes

d'autres formes de médecine  que la médecine classique peuvent aider la personne, modifier un peu le terrain, renforcer les défenses

je veux bien en parler avec vous si vous le souhaitiez, vous avez mon adresse e-mail

en tout cas : pas  baisser les bras, c'est donner des arguments à la maladie

bonsoir yves 72